LES MERES

 

 

 

Quelle est la station de métro préférée Des mères juives ?

 

  La station Monge :             

« Monge, mon fils,

   Monge ! »

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Quelle est la différence entre une mère juive et un pit-bull ?

A la limite,
le pit-bull, lui, peut
vous lâcher…
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Trois mères juives parlent de leurs fils :
__ Mon fils m’a dit : Maman, tu as vu comment tu es habillée… ? Et il a renouvelé toute ma garde robe.
La seconde mères surenchérit :
__ Moi, c’est pareil, il est venu chez moi la semaine dernière, il m’a dit : Maman, tu as vu dans quoi tu vis, tu mérites mieux. Et il m’a acheté un appartement à Passy.
Et, enfin la troisième :
__ Moi, c’est encore mieux. Il va trois fois par semaine chez un monsieur qu’il paye très cher rien que pour lui parler de moi.

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Une mère juive se promène avec ses deux enfants.

Quelqu’un lui demande leur âge et elle répond :

__ Le docteur, il a quatre ans et l’avocat, deux ans et demi.

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A quoi reconnaît-on une mère juive ?

La nuit, si tu te lèves pour aller pisser, quand tu reviens te coucher, ton lit est déjà refait.

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Deux mères juives se rencontrent au supermarché.
__ Rachel, ma chérie, j’ai entendu dire pour ta fille… Mazel Tov !
__ Oui, elle se marie.
__ Merveilleux . Et qui est l’heureux élu ?

__ David, il est chef de clinique à l’Hôpital américain de Neuilly.

__ Ah ? je croyais qu’il était avocat !

__ Non, l’avocat, c’était son ex-mari.
__ Ah, pardon ! je ne sais pas pourquoi, je pensais que son ex-mari était psychiatre.
__ ça, c’était le premier mari, quand elle était jeune. Un analyste très connu !
__ Ma chère, vraiment quelle chance d’avoir tant de joies avec une seule fille !

 

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Une mère juive téléphone à la SNCF :

__ Allô ! Il est à quelle heure, le train de mon fils ?

 

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Simon téléphone à sa mère :

__ Allô, maman ! comment tu vas ?

__ Ca va bien …

__ Oh ! désolé, j’ai dû me tromper de numéro !

 

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Une grand mère promène son petit fils avenue Victor Hugo, dans le très chic seizième arrondissement parisien. Une voisine l’interpelle :
__ Comme il est beau, votre petit fils !

__ Oh, ce n’est rien, si vous voyiez les photos !

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Trois mères juives se rencontrent :

La première :

__ Ahhhhh !!!

La seconde :

__ Ohhhhh !!!!

Alors la troisième :

__ Arrêtez, on avait décidé de ne pas parler des enfants aujourd’hui…

 

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Allô, maman ! c’est david.

__ Oh, Daviiiiid… Mon fils, comment tu vas mon chéri ?

__ Bien, maman, tout va bien. Mais je voulais te parler de deux ou trois petites choses…

__ Oui, mon fils, je t’écoute, je suis là pour ça !

__ Bon, ben voilà, maman, je vais me marier…

__ Mais c’est mezrveilleux ! Comment elle s’appelle, la petite ? Quand est ce que tu me la présentes ?

__ Oui, mais maman, tu vois, le problème c’est que…

__ C’est que quoi ? Y’a pas de problème… Ah, si ton pauvre père était encore là pour te féliciter !

__ Ben, c’est qu’elle est déjà mariée… Enfin, divorcée .

__ Et alors, cela donne de l’expérience !

__ Et y’a les deux enfants qu’elle a déjà eus.

__ Des enfants déjà, je vais les aimer… Je le sens déjà.

__ Elle est noire.

__ Noire ? Mais ce n’est rien…Mon Dieu, mon fils se marie !

__ Et elle n’est pas juive…

__ Ah, mais qu’est ce que cela peut faire ! Ce qui compte, c’est l’amour et les sentiments.

__ Alors, on peut passer, je vais te la présenter.

__ Y’a pas de problème, et vous pourrez rester. Vous dormirez dans ma chambre.

__ Mais toi, maman, tu vas aller où ?

__ Moi, c’est pas grave, je me couche et je meurs !  

 

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__ Maman, je vais me marier !

__ avec qui ? Avec un gars de chez nous ?

__ Euh, non, un Arabe.

__ Quoi avec un goy et en plus un Séfarade !

 

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Trois mères juives parlent de leur progéniture. La première :

__ Mon fils, il est tellement riche que, s’il voulait, il pourrait acheter un quartier de Paris.

__ Madame Partouche, vous ne m’impressionnez pas, mon fils, il pourrait s’acheter Paris ou New York, en entier.

__ Et qui vous dit que mon fils veut vendre, répond la troisième.

 

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Charlie Bensoussan est élu. Il s’agit du premier juif élu président de la République. Il appelle sa mère à Cannes.

__ Maman, tu viens à l’investiture ?

__ Non, mon fils, je n’aime pas les voyages…J’aime pas prendre le train… La prochaine fois.

__ Mamaaaan, tu peux pas me faire ça…

__ Mais, mon fils, c’est pas grave…

__ Tu ne prendras pas le train, un avion de l’armée viendra te chercher…

__ Mais tu sais, mon fils, je n’aime pas les hôtels…

__ Maman, tu vas pas dormir à l’hôtel… tu vas dormir avec moi, à l’Elysée… Y’a des chambres partout !

__ Mais tu sais, mon fils, dans ces grandes cérémonies, il n’y a pas à manger kasher…

__ Mais si, là, il y aura un buffet kasher…

Alors la mère finit par se laisser convaincre et assiste à l’investiture. Arrive le moment de la conférence de presse du nouveau président. La mère a tenu à être assise au premier rang des journalistes. Elle se retrouve avec les cadors de la profession, assise entre deux chroniqueurs politiques très célèbres.

Elle se penche alors vers l’un d’eux.

__ Vous voyez mon fils, là, eh bien son frère, c’est un grand docteur.

 

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David a quitté la demeure familiale, sa mère est donc partie s’installer à Cannes. Les premiers temps, il l’appelle tous les jours, puis une fois par semaine… Enfin, il téléphone de moins en moins fréquemment. Un jour, il reçoit un coup de fil de l’hôpital de Cannes :

__ Monsieur, votre mère est chez nous, elle souffre de malnutrition !…

David accourt voir sa mère et, lorsqu’il arrive, tout honteux, il lui demande :

__ Maman, pourquoi tu ne mangeais pas ? je t’envoyais de l’argent…

__ Je ne voulais pas avoir la bouche pleine si tu m’appelais…

 

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Une mère juive se plaint de ne plus pouvoir communiquer avec son fils chéri. Une amie lui conseille d’aller voir un psychanalyste . Le fils, pour éviter encore des histoires, se laisse convaincre. Ils se rendent au cabinet du docteur Leibowitz, et ce dernier demande à la vieille dame de se retire dans la salle d’attente, il doit parler en tête à tête avec son fils.

La conversation dure une demi-heure, puis le psychanalyste rappelle la mère :

__ Bon, écoutez, madame Lévy, votre fils souffre d’un complexe d’Œdipe …

__ Un complexe… Mais un complexe, c’est pas grave tant qu’il aime sa mère !

 

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C'est un juif qui téléphone à sa mère :
- Allô Maman ? Comment ça va ?
- Ça va bien...
- Oh ! Désolé, mais je me suis trompé de numéro...

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3 mères juives sur une plage de Miami parlent de leurs rejetons.
La première :
Mon fils est venu chez moi la semaine dernière, il m'a dit : Maman, tu as vu dans quoi tu vis, tu mérites mieux que ça.
Et il a renouvelé le mobilier de tout l'appartement.
La seconde :
Moi, c'est pareil, il m'a dit : Maman, tu as vu comment tu es habillée..?
Et il a renouvelé toute ma garde-robe.
La troisième ne dit rien et sourit.
Alors les deux autres : Et vous ?
La troisième dit enfin :
Moi, c'est encore mieux. Le mien, il va trois fois par semaine chez un monsieur qu'il paye très cher et il ne lui parle que de moi. (de Woody Allen toujours ?)

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Une mère juive téléphone à la gare et dit :
- Allô, à quelle heure il vient le train de mon fils ?

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C'est trois mères juives qui parlent de leurs fils.
La première dit:
"Mon fils a bien réussi. C'est le meilleur avocat de New York."

La seconde dit:
"Mon fils c'est mieux que ça. C'est le meilleur psychiatre de New York."

La troisième dit:
"Mon fils a pas si bien réussi. Il n'a pas un très bon travail, et il est homosexuel (aie aie aie). Mais il a deux petits amis... l'un c'est le meilleur avocat de New York, et l'autre c'est le meilleur psychiatre de la ville."

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Une variante de la précédente:

Deux mères juives se rencontrent après s'être perdues de vue pendant plusieurs années...

"On m'a dit que ton fils s'est marié... Félicitations !

- Oïe, ne me parle pas de ce malheur ! Une véritable catastrophe ! Son épouse ne fait rien de sa journée ! Elle fait la grasse matinée, mon fils lui apporte les croissants au lit, elle ne cuisine pas, ne lave pas le linge, ne repasse pas, ne débarrasse même pas la table ! Elle se prélasse à longueur de journée !

- Oïe ma pauvre ! Et ta fille, elle est mariée ?

- Ah ma fille ! AU moins elle, elle est bien tombée. Son mari est a-do-rable ! Il lui apporte le petit déjeuner au lit, fait la cuisine à sa place, s'occupe des lessives et du repassage ! Elle peut se reposer et s'occuper d'elle-même !"

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Les parents du petit Samuel, les Bensimon, sont très inquiets, il semble souffrir de graves troubles mentaux. Ils l'emmènent donc voir un psy.
Le psy demande aux parents d'aller dans la salle d'attente afin qu'il puisse s'entretenir seul à seul avec leur fils. Au bout d'un quart d'heure il sort et dit aux parents : "c'est très grave, votre fils fait un complexe d'Oedipe".
La mère répond : un complexe d'Oedipe? Oh c'est pas grave, du moment qu'il aime sa mère...

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C'est la nuit des noces. Au milieu de la nuit la jeune mariée se réveille, soupire, s'étire, secoue son mari. Celui-ci se réveille et demande:

- Qu'est-ce qui t'arrive, Feigele? T'arrives pas à dormir?

- Oooh, non, je ne peux pas. Tu sais, quand j'étais petite et que je n'arrivais pas à m'endormir, ma mère me prenait dans son lit, m'embrassait, me câlinait... et j'arrivais à m'endormir très vite après.

- Non mais, et puis quoi encore!? Tu voudrais peut-être que j'aille te chercher maman en plein milieu de la nuit???

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Définition d'un génie:

Un étudiant dans la moyenne, mais avec une mère juive

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3 mères juives discutent de leur fils respectifs...

La première:

- Moi mon fils, il et tellement riche qu'il pourrait acheter Paris!

La seconde, un peu vexée:

- Moi mon fils, il a tellemnt d'argent qu'il pourrait s'offrir Paris ET New-York!

Alors la troisième termine:

- Et qu'est ce qui vous fait croire que mon fils a envie de vendre?

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Une mère juive appelle son grand fils :

- Daviiiid, mon fils !

- Écoute ta mère qui te parle !

Voilà : tu as voulu faire Harvard, je t'ai payé Harvard

Tu as voulu faire polytechnique et l'ENA, je t'ai payé polytechnique et l'ENA Tu as voulu faire Oxford, je t'ai payé Oxford... Maintenant, il faut choisir :

confection pour homme ou confection pour dame ?

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Deux grands mères juives se croisent dans un parc public et vont s'asseoir sur un banc.

- oï je suis bien fatiguée dit Sarah

- ah, qu'est ce qu'il y a encore dit Rébecca.

- et bien c'est David, qui fait ses dents alors je n'ai pas dormi.

- David, tu veux dire le pianiste ?

- Mais non, le chirurgien.

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Sarah et Moise viennent de se marier. A table :

- C'est bon, Sarah, ce que tu fais à manger. Mais tu ne voudrais pas me faire la recette des pastellas comme ma mère me la fait ?

Sarah, pour satisfaire son mari, lui prépare des pastellas pour le dîner du lendemain. À table :

- Comme c'est gentil ! Tu m'as fait des pastellas ! Ah elles sont pas comme ma mère les faisait. Tu as demandé à ma mère la recette ?

Demande-lui, elle les fait très bien.

Sarah pousse l'abnégation jusqu'à téléphoner à sa belle-mère pour avoir la recette, et lui prépare le lendemain, avec la salade de poivrons (à l'huile d'argan pour les spécialistes). À table :

- Ah ! C'est très bon ! Mais ma mère, elle doit pas tout à fait faire comme ça.

Le lendemain, Sarah reçoit sa mère dans l'après-midi, pour le thé et les biscuits. Sa mère :

- Alors ma fille, heureuse en mariage ?

- ... (petit soupir)

- Quoi ? il critique ta façon de cuisiner ? (sa mère est très mèrespicace, non ?)

- Oui belle maman.

- Écoute mon conseil, ma fille. Ce soir, pas de petits plats, pas d'entrée, pas de dessert. Ce soir, tu mets un déshabillé affriolant, tu choisis une lumière tamisée, et tu l'attends dans la chambre.

Le soir, le mari entre, appelle sa femme :

- Sarah ?

La table n'est pas mise, pas d'odeur de cuisine.

- Sarah, où es-tu ?

Il avance vers la chambre, découvre sa femme dans un déshabillé transparent, éclairée par une lumière tamisée, et pousse un cri d'inquiétude :

- Sarah ! Qu'est-ce qui est arrivé à ma mère ?!

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Quelle est la différence entre une mère goy (non juive) et une mère juive dans la façon de faire manger son enfant ?

La mère goy, elle dit "Mange ou je te tue !"

La mère juive, elle dit "Mange ou je me tue !"

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© Vertigo Production pour les photos